Law and Political Sciencehttp://dspace.mediu.edu.my:8181/xmlui/handle/123456789/42232024-03-29T12:59:38Z2024-03-29T12:59:38ZThe Colour of E-consenthttp://dspace.mediu.edu.my:8181/xmlui/handle/123456789/63632013-05-30T15:53:33Z2013-05-30T00:00:00ZThe Colour of E-consent
[Abstract] Consent, a well-known legal precept, can be considered one of the pillars of contract law, if not its core concept. Yet, within this broad notion, certain new issues associated with the emergence of electronic communications seem to arise. Questions regarding the nature of offer and acceptance, the place where the contract is formed, and the question of whether one's will can be expressed in an automated manner, among others, should be addressed. I have chosen to concentrate here on two questions that seem to have received little attention. Part 1 discusses the different ways we read electronic and paper documents, while Part 2 focuses on the way we manifest intent. The paper provides a brief outline of the distinctive features of electronic transactions and sets out the features of the expression of online consent, as well as the manner in which it is given. *****[Résumé] Le consentement, un précepte juridique bien connu, peut être considéré comme l’un des piliers, voire même le concept clé du droit des contrats. Pourtant, dans le contexte de notion assez large, de nouvelles questions semblent surgir avec l’émergence des communications électroniques. Parmi ces questions qui demandent une réponse, mentionnons la nature de l’offre et de l’acceptation, le lieu de la formation du contrat et la possibilité de traduire sa volonté d’une manière automatisée. L’auteur choisit dans cet article de concentrer mon attention sur deux points qui semblent avoir suscité peu d’attention. La partie 1 traite des différentes façons de lire un document électronique et imprimé. La partie 2 porte sur les façons d’exprimer l’intention. L’article décrit sommairement les éléments distinctifs des transactions électroniques ainsi que les critères du consentement en ligne et les façons de donner ce consentement.
2013-05-30T00:00:00ZRegime Change in Intellectual Property: Superseding the Law of the State with the "Law" of the Firmhttp://dspace.mediu.edu.my:8181/xmlui/handle/123456789/63622013-05-30T15:53:03Z2013-05-30T00:00:00ZRegime Change in Intellectual Property: Superseding the Law of the State with the "Law" of the Firm
[Abstract] Our current legal discourse on intellectual property needs to expand beyond propertization policy to include competition and free speech policy. Recent legal strategies in the U.S. have tried to avoid the limits copyright law by appropriating arcane real property torts and by mass promulgated contracts. If effective, such "laws" would supersede the official regime of intellectual property. In order to remain relevant in light of such developments, legal discourse must consider which aspects of the present intellectual property and contract regimes are default, waivable rules and which are inalienable entitlements. As one method for motivating a consideration of the limits of the waivability of default rules, I present a framework for considering whether such superseding regimes could be efficient. I argue that questions of efficiency implicate hard issues of pre-emption by federal law, as well as issues of competition and free speech. I also outline some categories of the most plausible candidates for inalienable rights. Finally, I argue that legislative approval of the regulation of intellectual property by machine poses a separate threat to the official copyright regime.*****[Résumé] Notre discours juridique actuel sur la propriété intellectuelle doit dépasser la politique de l’appartenance et inclure les politiques sur la concurrence et la libre expression. Aux États-Unis, des stratégies juridiques récentes ont cherché à éviter les limites de la loi sur le droit d’auteur en appropriant les anciens délits du droit des biens immobiliers et les contrats de masse promulgués. Si ces « lois » entraient en vigueur, elles auraient préséance sur le régime officiel de la propriété intellectuelle. Afin de rester pertinent dans le contexte de cette évolution, le discours juridique doit déterminer quels aspects des régimes actuels en matière de la propriété intellectuelle et des contrats sont des règles par défaut auxquelles on peut renoncer et quels sont les droits inaliénables. Afin d’encourager une étude des limites de la renonciation aux règles par défaut, l’auteure propose un modèle pour évaluer l’efficacité des nouveaux régimes. Elle soutient que ce débat sur l’efficacité soulève les questions complexes de la préemption régie par le droit fédéral ainsi que celles de la concurrence et de la liberté d’expression. En outre, l’auteure mentionne certaines catégories de candidats et de candidates plus susceptibles de se voir reconnaître des droits inaliénables. Selon l’auteure, l’approbation législative de la réglementation de la propriété intellectuelle par machine crée une menace distincte au régime officiel du droit d’auteur.
2013-05-30T00:00:00ZRecent Copyright Developments: Harmonization Opportunities for Canadahttp://dspace.mediu.edu.my:8181/xmlui/handle/123456789/63612013-05-30T15:52:33Z2013-05-30T00:00:00ZRecent Copyright Developments: Harmonization Opportunities for Canada
[Abstract] The application of copyright law to information and internet technology has presented governmental policy makers and the courts with both a burden and an opportunity to contemplate the comparative features of copyright law and to consider the extent to which a measure of harmonization can and ought to be achieved. In this context, three important topics, all involving recent appellate judicial determinations in Canada, will be discussed. The first topic is the scope and theoretical underpinnings of copyright law in Canada; the second topic involves an analysis of "originality" in an infringement context concerning non-literal copying of software and concerning the establishment of copyrightability, especially with respect to databases; the third topic concerns developments in Canada with respect to "authorizing" copyright infringement. Each of these topics presents an opportunity for a consideration of the benefits, or of the lack thereof, of harmonization with other jurisdictions in the application of copyright law to developing technologies. Canada's experience with both the common and civil systems and its geographic and economic proximity to the United States should equip Canada well, enabling courts and policy makers to utilize effectively comparative legal and policy perspectives and thus to ensure that these represent an opportunity instead of a burden.*****[Résumé] L’application de la loi sur le droit d’auteur aux technologies de l’information et de l’Internet représentent pour les décideurs politiques et les tribunaux à la fois un fardeau et une occasion de comparer les éléments de la loi sur le droit d’auteur et de déterminer dans quelle mesure l’harmonisation est possible et désirable. Dans ce contexte, trois sujets importants qui ont fait récemment l’objet d’arrêts judiciaires au Canada sont abordés. Le premier est la portée et les fondements théoriques de la loi sur le droit d’auteur au Canada; le second a trait à l’analyse de l’« originalité » dans le contexte d’une violation pour cause de reproduction non littérale de logiciel et la détermination du caractère protégeable d’une œuvre, en particulier de bases de données; le troisième est l’état du droit au Canada en matière de l’« autorisation » de violations du droit d’auteur. Chacun de ces sujets permet de commenter les avantages ou l’absence d’avantages de l’harmonisation avec d’autres régimes dans l’application de la loi sur le droit d’auteur aux nouvelles technologies. L’expérience du Canada en matière des systèmes de common law et de droit civil ainsi que sa proximité géographique et économique avec les États-Unis devraient constituer des ressources utiles pour permettre aux tribunaux et aux décideurs politiques canadiens d’utiliser efficacement les perspectives comparées en droit et en politique, en veillant à ce qu’elles soient un avantage et non un fardeau.
2013-05-30T00:00:00ZBack to Bilateralism? Pendulum Swings in International Intellectual Property Protectionhttp://dspace.mediu.edu.my:8181/xmlui/handle/123456789/63602013-05-30T15:52:03Z2013-05-30T00:00:00ZBack to Bilateralism? Pendulum Swings in International Intellectual Property Protection
[Abstract] This article briefly presents an account of bilateralism in international economic relations-encompassing intellectual property regulation-that suggests that the TRIPS Agreement should never have been understood as a crowning point of international intellectual property regulation. The article explores the implications of this possible reformulation of the theory and place of the TRIPS Agreement in international intellectual property law and policy. The author argues that the new bilateralism, while similar in form, serves a different agenda from the old bilateralism which relied principally on commercial agreements as a means to stabilize, formalize and advance interests ostensibly mutual to the contracting parties. Notwithstanding this different function, and in spite of the deployment of coercive measures enforced through unilateral trade policy, the author seeks to consider what, if any, real prospects for gain may exist for developing countries under the new bilateralism.*****[Résumé]L’article fait un compte rendu du bilatéralisme dans les relations économiques internationales – qui englobent la réglementation de la propriété intellectuelle. L’article suggère que l’accord ADPIC n’aurait jamais dû être perçu comme un point culminant dans la réglementation internationale de la propriété intellectuelle. L’article explore les répercussions de cette reformulation possible de la théorie et du rôle de l’accord ADPIC sur le droit et la politique régissant la propriété intellectuelle sur la scène internationale. L’auteure soutient que le nouveau bilatéralisme, bien que de forme similaire, répond à un agenda différent de celui de l’ancien bilatéralisme fondé essentiellement sur les accords commerciaux en tant que moyens de stabiliser, de formaliser et de promouvoir les intérêts mutuels manifestes des parties contractantes. Malgré cette fonction différente et le déploiement de mesures coercitives mises en œuvre par le biais de politiques commerciales unilatérales, l’auteure cherche à analyser quels seraient, le cas échéant, les gains possibles pour les pays en développement dans le contexte du nouveau bilatéralisme.
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